cyclotourisme

L'Épiphanie est une fête d'origine païenne durant laquelle on célébrait les Epiphanes, autrement dit Apollon et le Soleil qui lui est associé ainsi que les autres Dieux Souverains (Dieux Epiphanes : Zeus, Athéna, Hermès, Héra, Poséidon, Déméter, Héphaïstos, Aphrodite, Arès, Artémis, Hestia).

Cette fête a été christianisée et l'Épiphanie célèbre la visite des mages à l'enfant Jésus, le Messie dans le monde. Elle a lieu le 06 janvier.

En France et en Belgique, puisque ce jour n'est pas férié, elle est célébrée le deuxième dimanche suivant Noël.

La fête était à l'origine, jusqu'à la fin du IV ème siècle, la grande et unique fête chrétienne de la manifestation du Christ dans le monde : incarnation, Nativité, manifestation par la venue des mages, manifestation par la voix du Père et la colombe sur le Jourdain, manifestation par le miracle de Cana. Depuis l'introduction d'une fête de la Nativité (Noël), le 25 décembre, l'Épiphanie s'est spécialisée de façons diverses selon les confessions, et a adopté des sens variés.

L'Épiphanie, tout comme le cycle de Noël, est loin d'être d'origine purement chrétienne, mais tire son fond et son sens des célébrations païennes de la Lumière.
En effet, Noël, avant d'être un jour, est d'abord un cycle, qui atteint son apogée au jour du solstice d'hiver (ou en tout cas un des jours associés au solstice), le 25 décembre. Cette nuit du solstice, qui est la plus longue de l'année, signifie le retour de la Lumière ou, mieux, la renaissance de la Lumière à l'origine de toutes choses. Puis la célébration se prolonge durant un nombre de jours hautement symbolique : 12 jours. Ainsi Noël est-elle une fête qui dure 12 jours et 12 nuits, le 12 représentant entre autres la Totalité (12 mois, 12 heures, 12 apôtres, 12 Dieux Olympiens, 12 Imâms dans le shî'isme duodécimain).

Le cycle prend fin le 06 janvier. C'est à ce moment que les jours commencent à s'allonger de façon sensible, que la promesse de la nuit solsticiale est tenue. On célèbre alors l'Épiphanie, la manifestation de la Lumière. La galette symbolise par sa forme ronde le soleil. Il est à noter également que c'est ce jour (en tout cas son équivalent, car le calendrier de la Rome antique n'était pas le nôtre) qu'avait lieu la fête des 12 Dieux Epiphanes (autrement dit les 12 Olympiens).

Le christianisme s'est coulé dans ce moule dont le sens éternel n'est pas altéré, le Christ étant assimilé à la Lumière.

La tradition veut que l'Épiphanie soit l'occasion de « tirer les rois » : une figurine est cachée dans une pâtisserie et la personne qui obtient cette fève devient le roi de la journée. Cette pratique trouverait son origine dans les Saturnales de la Rome antique.

En France, depuis le XIV ème siècle, on mange la galette des Rois à l'occasion de cette fête. La tradition veut que l'on partage la galette en autant de parts que de convives, plus une. Cette dernière, appelée « part du Bon Dieu », « part de la Vierge » ou « part du pauvre », était destinée au premier pauvre qui se présenterait au logis.

Un usage moderne veut aussi que la traditionnelle fève soit accompagnée ou remplacée par un petit sujet caché à l'intérieur de la pâte de la galette des Rois. La personne ayant dans sa part la fève sera symboliquement couronnée roi ou reine et devra offrir la prochaine galette ; quant à celui qui a le sujet, il devra offrir la boisson (mousseux, muscat ou champagne selon la bourse).

Dans le sud-ouest de la France, traditionnellement, on ne prépare pas une galette, mais un gâteau des rois qui est une brioche en forme de couronne, que l'on nomme « coque » et qui est couverte de sucre granulé. Dans le sud-est, cette même couronne est, en plus du sucre, garnie et couverte de fruits confits. Un santon (généralement santon-puce) tend à remplacer la fève. Cette « couronne des Rois » est toujours très présente mais se fait souvent concurrencer par la galette, moins chère (les fruits confits sont coûteux) mais aussi de fabrication et conservation (voire de manipulation) plus facile.

Les artisans boulangers-pâtissiers offrent tous les ans la galette de l'Élysée. Cette galette ne contient pas de fève de façon à ce que le président de la République ne puisse pas être couronné. Cette tradition remonte à l'année 1975, date à laquelle fut offerte à Valéry Giscard d'Estaing une galette géante d'un mètre de diamètre.

La photo, ci-jointe, a été prise à Raedersheim, avec la traditionnelle crèche, simple, originale et bien faite !...

Le Jour de l'An ou Nouvel An est le 1 er jour d'une année.

Par extension, le terme désigne aussi les célébrations de ce 1 er jour de l'année.

Comme tout anniversaire d'un calendrier donné, le Jour de l'An peut sembler mobile dans un calendrier fonctionnant suivant une autre logique.

Par exemple, le Nouvel An du calendrier chinois (luni-solaire) apparaît comme une date mobile dans le calendrier grégorien (calendrier solaire).

La photo, ci-jointe, a été prise à Merxheim, petit clin d’œil au 1 er jour de la Nouvelle Année 2025, avec deux cerfs, dans leur jeep, avec ce qu’il leur reste de cadeaux de Noël, après leur tournée. Le Père Noël, lui, est déjà rentré à la maison.

Alors, Bonne Année 2025 !...

Noël est une fête chrétienne célébrant, chaque année, la naissance de Jésus de Nazareth, appelée « Nativité ».

À l'origine, cette fête était païenne et existait sous des formes différentes pour marquer le solstice d'hiver.

Au XXI ème siècle, Noël revêt un aspect largement profane.

Elle est devenue une « fête commerciale » et un moment de l'année célébré, y compris par des non-croyants.

Cette fête est caractérisée par un regroupement des cellules familiales autour d'un repas et d'un échange de cadeaux, particulièrement (mais pas seulement) à destination des enfants, qui, dans plusieurs pays occidentaux associent ces cadeaux au personnage du Père Noël.

Noël est actuellement fixé au 25 décembre dans les calendriers grégorien et julien par la plupart des églises.

La photo, ci-jointe, a été prise dans le parc de l’hôtel de ville, à Herrlisheim-près-Colmar, avec le Père Noël sur son traineau rempli de cadeaux, tiré par un cerf !

Et, même si je n’ai jamais trop apprécié la période des fêtes de fin d’année, devenues bien trop commerciales, selon moi, Joyeux Noël !...

L'hiver est l'une des quatre saisons des zones tempérées, traditionnellement perçue comme la plus froide.

L'hiver météorologique coïncide avec les jours les plus courts et les températures les plus basses.

Certaines régions connaissent les précipitations les plus fortes en hiver, ainsi qu'une humidité prolongée du fait que les basses températures ralentissent l'évaporation.

Les accumulations de neige et de glace sont principalement associées à l'hiver dans l'hémisphère nord, du fait des grandes masses continentales qui s'y trouvent.

De façon générale, plus on se rapproche des pôles, et plus on s'éloigne vers l'est dans les masses continentales de l'hémisphère nord, plus l'hiver est réputé rigoureux.

Cela est également vrai en montagne lorsque l'altitude augmente.

Du point de vue astronomique, le solstice d'hiver (normalement le 21 décembre dans l'hémisphère nord) devrait marquer le milieu de l'hiver (si l'on se fonde sur l'angle du soleil).

Mais les températures journalières ne descendent de façon marquée que plusieurs semaines après le 07 novembre (début astronomique théorique de l'hiver), la terre et la mer mettant un certain temps à se refroidir.

La photo, ci-jointe, a été prise à Oberentzen, et symbolise, assez bien (je trouve), l'hiver qui vient de débuter, avec les pingouins, et leur progéniture, autour de leur igloo !

Le samedi 09 août 1980, il y a un peu plus de 44 ans (et je retrouve ce fameux chiffre 44, comprenne qui pourra), avec Père Roger, nous étions allés, en vélo, jusqu'à Obernai, dans le Bas-Rhin, depuis Merxheim, dans le Haut-Rhin, pour assister au « Critérium d'après Tour », au Mont National, à Obernai !

Après les 100 kms de l'épreuve, et les 25 ascensions du Mont National, parcourus en 2h36'27", c'est le portugais, Joaquim Agostinho, 37 ans, (décédé à l'âge de 41 ans), 5 ème du Tour de France 1980, qui s'imposait, devant le français, Raymond Martin, 3 ème du Tour de France 1980, porteur du maillot blanc à pois rouges de meilleur grimpeur, 2 ème.

Le dimanche 27 octobre 2024, à quelques jours du jour férié de la Toussaint, alors que j'avais l'idée en tête depuis quelques temps, déjà, depuis le départ de Père Roger, le samedi 23 juillet 2022, j'ai voulu refaire le parcours, sans doute un peu en sa mémoire, et pour m'en rappeler, même si je ne l'ai jamais vraiment oubliée, « cette aventure » !

Le dimanche 27 octobre 2024, donc, j'ai accompli 170,2 kms, « ma plus grande balade en vélo de l'année 2024 », en partie avec l'ami bas-rhinois, Stéphane, venu me rejoindre et m'accompagner, une bonne partie de ma route, à l'aller et au retour, à 24,629 km/h de moyenne, 1293 mètres de dénivelé (la Route des Vins d’Alsace n'est pas plate mais faite de nombreuses petites montées plus ou moins difficiles), l'occasion de remonter au Mont National, où je n'étais plus, depuis une 1 ère étape du défunt « Tour des COOP d'Alsace », je ne sais plus trop en quelle année, d'ailleurs, « mais ça n'a aucune importance, ce que je voulais accomplir a été accompli, tout est accompli, désormais ! ».

Le Mémorial National des Incorporés de Force a été érigé en 1956 par la section cantonale de l'ADEIF d'Obernai, en souvenir des 272 victimes, mortes ou disparues, du canton durant le seconde Guerre Mondiale.

Le belvédère offre un superbe panorama sur la ville d'Obernai et une vue vers le Mont Sainte-Odile.

C'est aussi le point de départ du sentier viticole du Schenkenberg.

Halloween est une fête folklorique et païenne traditionnelle originaire des îles anglo-celtes, célébrée dans la soirée du 31 octobre, veille de la fête chrétienne de la Toussaint.

Son nom est une contraction de l'anglais « All Hallows-Even » qui signifie « the eve of All Hallows' Day » en anglais contemporain et peut se traduire comme « la veille de tous les saints » ou « la veillée de la Toussaint ».

En dépit de son nom d'origine chrétienne et anglaise, la grande majorité des sources présentent Halloween comme un héritage de la fête païenne de Samain qui était célébrée au début de l'automne par les celtes et constituait, pour eux, une sorte de fête du Nouvel An ! Halloween est ainsi connue jusqu'à nos jours sous le nom de « Oíche Shamhna » en gaélique.

Elle est une fête très populaire en Irlande, en Ecosse et au Pays de Galles où l'on trouve de nombreux témoignages historiques de son existence.

Jack-o’-lantern, la lanterne emblématique d'Halloween, est, elle-même, issue d'une légende irlandaise !

C'est à partir du VIII ème siècle, sous le pape Grégoire III (731-741) et, au siècle suivant, sous le pape Grégoire IV (827-844), que l'église catholique déplaça la fête de la Toussaint qui pouvait se fêter jusqu'alors après Pâques ou après la Pentecôte, à la date du 1 er novembre, christianisant, ainsi la fête de Samain.

La fête d'Halloween est introduite aux Etats-Unis d’Amérique et au Canada après l'arrivée massive d'émigrants irlandais et écossais, notamment à la suite de la grande famine en Irlande (1845-1851).

Elle y gagne en popularité à partir des années 1920 et c'est sur le nouveau continent qu'apparaissent les lanternes Jack-o’-lantern confectionnées à partir de citrouilles, d'origine locale, en remplacement des navets utilisés en Europe.

La tradition moderne la plus connue veut que les enfants se déguisent avec des costumes effrayants à l'image des fantômes, des sorcières, des monstres ou des vampires et aillent sonner aux portes en demandant des friandises avec la formule : « Trick or treat ! » qui signifie « des bonbons ou un sort ! ».

Les photos, ci-jointes, ont été prises à Réguisheim, originales, non ?

Ammerschwihr est une commune française, située dans le département du Haut-Rhin, en territoire de la Collectivité Européenne d’Alsace, depuis le 1 er janvier 2021, en région Grand Est.

Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d’Alsace.

La petite chapelle Saint-Wendelin est de style néo-gothique et se situe sur la route de Labaroche, à deux pas de la Porte Haute, et est entourée de vignes.

Elle doit son nom à Saint-Wendelin, né en Ecosse, en 594, arrivant d’Allemagne et aspirant à une vie pieuse, devenant mendiant et berger.

Sur le panneau, est écrit :

« Elle est mentionnée dès 1752. Fermée durant la Révolution, son mobilier est vendu aux enchères. Elle fut réouverte au culte sous le 1 er Empire. Reconstruite en 1878, les combats de décembre 1944 l’endommagèrent. Elle a été récemment restaurée par la Ville et l’Association des Amis des chapelles St Wendelin et St Eloi, créée en 1996. »

Ammerschwihr est une commune française, située dans le département du Haut-Rhin, en territoire de la Collectivité Européenne d’Alsace, depuis le 1 er janvier 2021, en région Grand Est.

Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d’Alsace.

La grande croix blanche est érigée par la ville d’Ammerschwihr à ses enfants victimes des deux guerres, est-il écrit.

Elle comporte, aussi, le message du Général de Gaulle, lancé en juin 1940, à Londres, qui dit :

A TOUS LES FRANCAIS

La France a perdu une bataille !

Mais la France n’a pas perdu la guerre !

Des gouvernants de rencontre ont pu capituler, cédant à la panique, oubliant l’honneur, livrant le pays à la servitude. Cependant, rien n’est perdu !

Rien n’est perdu, parce que cette guerre est une guerre mondiale. Dans l’univers libre, des forces immenses n’ont pas encore donné. Un jour ces forces écraseront l’ennemi. Il faut que la France ce jour là soit présente à la victoire. Alors, elle retrouvera sa liberté et sa grandeur. Tel est mon but, mon seul but !

Voilà pourquoi je convie tous les Français, où qu’ils se trouvent, à s’unir à moi dans l’action, dans le sacrifice et dans l’espérance.

Notre patrie est en péril de mort.

Luttons tous pour la sauver !

VIVE LA FRANCE !

Le Col du Page est un col, un peu méconnu, du massif des Vosges, situé à 957 mètres d'altitude.

Il relie les communes de Bussang et de Ventron, dans le département des Vosges, par une petite route forestière carrossable, mais non déneigée à la saison hivernale, et un peu chaotique et en mauvais état, par endroits.

Au sommet du Col du Page, on peut voir le monument à la mémoire de Michel Parmentier, engagé volontaire, qui a perdu la vie, ici même, le 28 novembre 1944, à l’âge de 27 ans, lors des combats pour la libération de Bussang.

J’avais prévu d’y participer, en 2020, mais cette édition « Les Copains-Cyfac » avait été annulée et m’avait été remboursée en raison de la pandémie de Covid-19 !

Par la suite, l’occasion ne s’était plus représentée, pour moi, pour plein de bonnes ou de mauvaises raisons, surtout de bonnes, d’ailleurs, mes priorités étaient différentes.

J’ai donc décidé, assez tôt, en ce début d’année 2024, en février, de m’inscrire pour la 36 ème édition « Les Copains-Cyfac », à Ambert, dans le département du Puy-de-Dôme, en région Auvergne/Rhône-Alpes.

Les organisateurs ont proposé plusieurs épreuves, durant le week-end, du vendredi 05 juillet 2024 au dimanche 07 juillet 2024.

Mon choix s’est porté vers l’épreuve itinérante sur trois jours, « Objectif Puy de Dôme », en trois étapes sillonnant les plus beaux sites des deux parcs naturels auvergnats : une épreuve très exigeante qui nécessite un entraînement approfondi sur de longues distances en moyenne montagne et réservée aux 400 premiers inscrits !

Le vendredi 05 juillet 2024, la 1 ère étape reliait Ambert à Charade, par la Chaîne des Puys, avec une arrivée originale sur le circuit automobile, par la Croix de l’Ormeau (altitude 775 mètres), le Col de la Croix des Gardes (altitude 654 mètres) et Olloix (altitude 865 mètres).

A l’arrivée, il était possible d’effectuer un ou plusieurs tours du circuit automobile, long de 3,975 kms, tout en montées et en descentes. Pour le fun, je l’ai donc effectué, sans forcer, si déjà, en 8’49’’, à la moyenne de 27,050 km/h, pour une anecdotique place de 162 ème (sur 254 classés, à priori), le classement n’était, en rien, un quelconque objectif, pour moi, en tout cas.

Au final de la journée, 146 kms, avec 2587 mètres de dénivelé, sous le soleil et une certaine chaleur, dans l’après-midi, avec un vent assez fort, aussi !

Le lendemain, samedi 06 juillet 2024, la 2 ème étape reliait le pied du Puy de Dôme, en direction du Sancy, au sommet volcanique de la Banne d’Ordanche, sur les hauteurs de La Bourboule, par l’ascension du mythique Puy de Dôme, noyé dans le brouillard, au sommet (altitude 1415 mètres), sur une route habituellement fermée à toute circulation, automobile et cycliste, le Col de Ceyssat (altitude 1078 mètres), le Col de Guéry (altitude 1268 mètres), le Col de la Sœur (altitude 1149 mètres) et la Banne d’Ordanche (altitude 1311 mètres).

Sur le parcours, étaient proposés les montées chronométrées de l’ascension du Puy de Dôme et celle de l’ascension de la Banne d’Ordanche.

Pour le fun, je les ai donc effectué, sans forcer, si déjà.

En 33’28’’, à la moyenne de 7,171 km/h, pour une anecdotique place de 167 ème (sur 222 classés, à priori), le classement n’était, en rien, un quelconque objectif, pour moi, en tout cas, pour les 4 kms de l’ascension du Puy de Dôme, souvent avec vent de face, en plus, d’ailleurs, sauf en tournant vers le sommet, où j’ai toujours rêvé d’y monter à vélo.

En 38’16’’, à la moyenne de 10,818 km/h, pour une anecdotique place de 78 ème (sur 123 classés, à priori), le classement n’était, en rien, un quelconque objectif, pour moi, en tout cas, pour les 6,9 kms de l’ascension de la Banne d’Ordanche.

En 1h20’35’’, le cumul des trois chronos me plaçait à la 80 ème place (sur 113 classés, à priori), le classement n’était, en rien, un quelconque objectif, pour moi, en tout cas.

Au final de la journée, 118 kms, avec 2629 mètres de dénivelé, sous une certaine douceur, en matinée, et un peu de soleil, avant la venue d’une forte couverture nuageuse, vers le milieu de la matinée, qui se transformera en pluie, en fin de matinée, ainsi qu’une bonne partie de l’après-midi, avec une forte chute des températures et le retour du froid, qui a bien compliqué la suite du parcours, surtout dans les descentes, avec le vent, en plus !

Enfin, le dimanche 07 juillet 2024, la 3 ème étape reliait Le Mont-Dore à Ambert, par le Livradois, par le Col de la Croix Saint-Robert (altitude 1451 mètres), la Côte de Praneuf (altitude 950 mètres), les Deux Frères (altitude 1082 mètres) et le Bois des Barthes (altitude 1060 mètres).

En début de parcours, était proposée la montée chronométrée du Col de la Croix Saint-Robert, que j’ai effectué en 29’13’’, à la moyenne de 11,910 km/h, pour les 5,8 kms de l’ascension, mais sans classement, cette fois, car il ne s’agissait, pour l’occasion, que d’un pointage des participants pour l’organisation.

Au final de la journée, 142 kms, avec 2438 mètres de dénivelé, avec le retour du soleil et par des températures agréables, sans trop de vent !

Deux crevaisons seront venues perturber mon parcours, malheureusement !

Au final, sur les trois étapes, 406 kms et 7654 mètres de dénivelé, un peu beaucoup, pour moi, tout de même, même si j’étais en gestion totale.

Voilà, c’était une épreuve originale, très bien organisée par le Cyclo-Club Les Copains, l’Union Cycliste Ambert Auvergne (UC2A), sous l’égide de l'Union Française des Oeuvres Laïques d'Education Physique (UFOLEP), que je suis content d’avoir réalisé et qui me tenait à cœur, une expérience d’Auvergne absolue.