100 ème Critérium du Ballon d’Alsace, à Belfort, dans le Territoire de Belfort !...
J'y tenais, je l'avais envisagé, il y a quelques années, déjà, j'y suis retourné, le jour férié de l'Assomption, jeudi 15 août 2024, une façon, pour moi, de « boucler la boucle », c'était et ce sera ma dernière participation à cette épreuve, désormais !
La dernière fois que j'y avais participé, c'était le samedi 15 août 2020, jour férié de l'Assomption, cette épreuve étant, comme habituellement, organisée à cette date.
Je me suis donc rendu dans le Territoire de Belfort, avec l'ascension du Ballon d'Alsace, depuis Belfort, sous le soleil et par des températures agréables mais assez chaudes et lourdes, tout de même, par la suite, pour la 100 ème édition du Critérium du Ballon d'Alsace, dans le peloton des Access (1, 2, 3 et 4) et Dames, où je ne serais pas resté bien longtemps, l'essentiel était ailleurs, pour moi, n'ayant, de toute façon, ni la tête, ni les jambes, ni la volonté, ni le coeur, pour m'accrocher plus longtemps !
Me concernant, l'objectif est atteint : remettre un dossard et arriver au sommet du Ballon d'Alsace, avec, au final, avec le retour à Belfort en vélo, 73,1 kms, à 24,1 km/h de moyenne, 920 mètres de dénivelé.
Comme habituellement, les organisateurs et bénévoles du CC Belfort-Miotte, sous l’égide de la Fédération Française de Cyclisme (FFC), ont maintenu leur tradition du 15 août, avec l'épreuve qui leur est chère, à savoir le Critérium du Ballon d'Alsace, le 100 ème du nom, qui en fait, assurément, l'une des épreuves les plus anciennes et les plus prisées du calendrier cycliste inter-régional de l'Est de la France qui a vu la victoire de Christophe Moreau, en 1993, 4 ème du Tour de France en l'an 2000, présent, d'ailleurs, pour l'occasion, comme spectateur !
Même si le parcours a quelque peu varié, au fil des années, la formule de cette « classique » n'a, elle, pas changée.
Elle se déroule sous la forme d'une course de côte en ligne et en peloton, sur une distance de 33,5 kilomètres (à mon compteur vélo), avec un départ donné à Belfort, au monument à la mémoire des fusillés et martyrs de la résistance et une arrivée jugée au sommet du Col du Ballon d'Alsace, à 1165 mètres d'altitude, sur la « route historique du Tour de France », comme l'attestent les panneaux dont elle est agrémentée, depuis quelques années, déjà, désormais : c'est la montée de ce premier col de montagne qui a été franchi par le Tour de France en 1905, comme le rappelle la stèle René Pottier, située à son sommet, qui a été le premier coureur à franchir le sommet du Ballon d'Alsace (étonnant, d'ailleurs, de voir le panneau routier indiquer une altitude à 1165 mètres et le panneau descriptif de la montée indiquer une altitude de 1173 mètres, avec une ascension longue de 12 kilomètres, à 5,1 % ou 5,2 % de déclivité moyenne et 6,2 % de déclivité maximum) !
Même si l'épreuve n'a pas toujours été épargnée par la pluie et le brouillard (2014, 2015 et 2019), le soleil était, cette fois, comme en 2020, au rendez-vous et les températures, encore agréables en matinée, sont devenues plus chaudes, au courant de la matinée et de l’après-midi.
Deux départs, différés de trois minutes, avec, d'un côté, les coureurs Open (1, 2 et 3) puis les coureurs Access (1, 2, 3 et 4) et Dames, ont été proposés, comme habituellement, par les organisateurs.
Le résultat étant anecdotique, l’essentiel étant ailleurs, pour moi, je me suis finalement classé 45 ème et avant-dernier (46 classés), l’objectif du jour était atteint, arriver au sommet !